Cesare risque 4 ans d’emprisonnement
pour avoir compensé l’inaction du maire et du gouvernement italien à l’égard de
leurs obligations légales, nationales et internationales, face au pouvoir
excessif des banques.
Les accusations, incohérentes parce
qu’il n’y a pas eu de violence, sauf contre le couple et ses enfants mineurs en
cours d’expulsion, sont totalement injustes et soulignent la criminalisation
croissante des luttes pour le droit au logement en Italie et à l’échelle
internationale.
L’AIH et l’Unione Inquilini, dont
Cesare fait partie, se sont immédiatement mobilisées et ont déjà reçu de
nombreuses attestations de solidarité.
Pour en savoir plus:
- Vous pouvez
lire ici l’appel lancé par Ottolini à la nouvelle de son inculpation. - Veuillez visiter le
site web de la AIH - Veuillez contacter l’AIH à l’adresse email suivante:solidarieta.cesare@habitants.org